Quelques suggestions sur la façon d’utiliser cette recommandation.
Précédent billet dans cette série.
La recommandation peut être employée :
- comme référence internationale pour l’élaboration de politiques sur la recherche et la science, et ce, à tous les niveaux, que ce soit au sein de gouvernements ou d’organismes ;
- en tant qu’ensemble de normes approuvées par la communauté internationale et destinées à orienter la pratique de la recherche dans toutes sortes de contextes (universités, gouvernements, organismes non gouvernementaux, réseaux de recherche clinique, entreprises, etc.) ;
- comme cadre de réglementation et d’éthique neutre (non biaisé) pour les ententes de collaboration internationale en recherche, particulièrement dans les contextes nord-sud ;
- pour offrir une perspective internationale sur les codes de conduites et les lignes directrices en matière d’éthique scientifique sur les plans national et régional ;
- pour appeler à la responsabilité publique afin d’encourager la mise à profit de la science dans la création de retombées sociales positives ;
- pour appuyer l’Agenda 2030 et les objectifs de développement durable (ODD), ainsi que le développement humain mondial en général ;
- comme ressource pour traiter des enjeux éthiques dans le contexte de la diplomatie scientifique.
Ce billet est directement fondé sur un texte publié par la Commission canadienne pour l’UNESCO.