Des scientifiques russes et biélorusses étudient les facteurs climatiques des 2 000 dernières années
Un consortium de scientifiques biélorusses et russes a mené une recherche sur la dynamique des facteurs climatiques depuis plus de 2 000 ans.
Un consortium de scientifiques biélorusses et russes a mené une recherche sur la dynamique des facteurs climatiques depuis plus de 2 000 ans.
La revue Cambridge Scholars a publié la monographie : « Prediction of erosion-debris flow processes and innovative measures against them », écrite par Givi Gavardashvili de l’Académie nationale des sciences de Géorgie.
Aux Pays-Bas, sept nouveaux projets de recherche « révolutionnaires » ont reçu des subventions du Fonds de recherche des instituts de l’Académie (AIRF).
Malgré les progrès réalisés en matière de représentation des sexes dans les sciences et la recherche, des disparités subsistent. Les femmes sont les auteurs de moins d’articles publiés dans les revues que les hommes, selon les conclusions de l’éditeur scientifique Elsevier.
En décembre de cette année, une olympiade étudiante organisée par l’Université technique chimique de Russie en collaboration avec les principales universités de Russie et de la Communauté des États indépendants, aura lieu.
L’Office for Climate Education (OCE) organise un séminaire international d’une semaine sur l’éducation au changement climatique, à Paris, en juin 2022, en partenariat avec le ministère français de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Ce séminaire vise à promouvoir le développement de l’éducation au changement climatique dans les programmes scolaires nationaux en facilitant…
Dans une conférence à la Semaine de la science de Berlin, Philip Kitcher, Professeur émérite à l’Université Columbia, à New York, a mis en évidence les « raisons compréhensibles » qui ralentissent l’action climatique.
La première installation chinoise d’exploration des interactions du système terrestre a été lancée.
Une nouvelle plateforme offre à tous un meilleur accès à la science du climat.
Une équipe internationale a compilé et vérifié les nouvelles données disponibles sur le puits de CO2 du pays, et, pour la première fois, ils ont estimé quantitativement l’effet des efforts d’atténuation des émissions chinoises.
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