Le libre accès et les nouveaux types de partenariats sont des moyens de développer la science partout dans le monde.
Torsten John, doctorant de l’Université de Leipzig, en Allemagne, est le plomb.
Il n’y a pas assez de scientifiques dans les pays en développement. Il faut que cela change.
Victor Sabanza, étudiant de premier cycle, Université de La Rioja, en Espagne, est le meitnerium.
Les scientifiques doivent accepter de s’engager dans des partenariats avec toutes les parties de la société pour que leur travail soit utilisé.
Lori Ferrins, professeure assistante de recherche, Northeastern University, aux États-Unis, est le nickel.
Toutes les connaissances qui pourraient aider à atteindre les ODD devraient être partagées.
Les projets de recherche dans les pays du Sud devraient se préparer à des restrictions financières, car le gouvernement britannique a annoncé qu’il réduirait l’aide étrangère à 10 milliards de livres l’an prochain.
Le futur du projet Gender Gap in Science et le Standing Committee for Gender Equality in Science (SCGES)
João Borges, chercheur à l’université d’Aveiro, au Portugal, est le rubidium.
