Les entreprises et les villes doivent rester dans des limites environnementales « sûres et justes » en ce qui concerne les ressources en carbone, en eau, ainsi que toutes autres ressources naturelles de la planète. La Commission de la Terre publie une une nouvelle série de recommandations en ce sens.
Les auteurs, issus de l’Université nationale australienne, de l’Université technique du Danemark, de l’École de commerce de l’Université d’Exeter, du Conseil de la recherche scientifique et technologique de Turquie, de l’Université de Graz, de l’Université de Potsdam et de l’Institut de recherche sur l’impact climatique de Potsdam (PIK), ont publié dans la revue Nature les principales lacunes en matière de connaissances que les chercheurs doivent combler pour aider les villes et les entreprises à fonctionner dans les limites du système terrestre, c’est-à-dire en respectant les limites environnementales.
Ces travaux précèdent la publication, l’année prochaine, d’un rapport de la Commission de la Terre qui définira une série de « limites du système terrestre » (ESB) sur la base des dernières évaluations scientifiques.
Rester dans les limites de l’ESB
Les chercheurs montrent que des méthodes doivent être développées pour identifier ce que les villes et les entreprises doivent faire pour que l’on reste bien dans les limites environnementales de la planète. Elle les aide notamment à évaluer leur part de responsabilité dans les budgets mondiaux impliquant le carbone, l’eau, les nutriments et toutes autres ressources naturelles, et à fixer des objectifs pour les protéger.
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Cet article a été extrait de Futurearth.